Êtes-vous hypersensible ?

Vous vous sentez souvent débordé·e par vos émotions ? 

Souvent ému·e aux larmes ? 

Plus sensible que la moyenne ? 

Très « à fleur de peau » ? 

Et cela vous met régulièrement dans l’embarras vis-à-vis des autres, au travail ou dans votre vie personnelle ?

Peut-être faites-vous des 15 à 30% de la population que l’on dit « hypersensible ».

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Débordé par des émotions inconfortables — ou envahi par trop d’émotions ?

Si ce sont essentiellement des émotions inconfortables qui vous débordent (tristesse, anxiété, stress, colère...), alors il s’agit là davantage d’un trop-plein émotionnel que vous ne parvenez plus à réguler.

Si, en revanche, ce sont toutes les émotions – agréables ou désagréables – que vous vivez très intensément, et que vous vous sentez épuisé par ces incessantes « montagnes russes émotionnelles », alors vous avez une nature «hypersensible». 

Cette hypersensibilité s’accompagne souvent d’une «hyperesthésie», c'est-à-dire d’une hypersensibilité aux stimulations sensorielles : sons, lumière, goûts, odeurs, textures, etc.

Dans un cas comme dans l’autre, le débordement émotionnel peut finir par engendrer une souffrance qui demande à être prise en compte et soulagée. Car il peut devenir vraiment difficile, à la longue, de vivre avec une impression constante de trop grande fragilité, d’ultra-porosité, de vulnérabilité, voire d’instabilité émotionnelle. 

D’autant qu’à cela s’ajoutent souvent d’autres émotions inconfortables : la sensation d’être “anormal”, inadapté, la peur d’être jugé ou rejeté, ou encore la honte ou la culpabilité de ne pas réussir à se contrôler – a fortiori quand les émotions se mettent à déborder de manière inadaptée au contexte (fondre en larme en pleine réunion de travail, perdre son sang-froid devant ses collègues, par exemple).

Les stratégies d’évitement : solutions inefficaces

Pour tenter de limiter ces débordements émotionnels, le réflexe de la plupart des personnes est de mettre en place des stratégies d’évitement : 

- des stratégies internes : tâcher d’étouffer les émotions inconfortables (déni, camouflage, refoulement, minimisation…), éviter de penser aux situations déclencheuses, s’apaiser par des “comportements-refuges” (grignotage, alcool, binge-watching, stupéfiants…) ; 

- et des stratégies externes : évitement des situations déclencheuses, retrait social…

Or l’expérience montre que toutes ces stratégies ne parviennent pas à apaiser profondément le débordement émotionnel. Au contraire ! Moins on écoute les messages de notre corps, plus celui-ci va “monter le volume” – jusqu’à ce que nous ne puissions plus faire taire l’émotion. À ce moment, on devient alors une sorte de cocotte-minute sans soupape, susceptible d’exploser à tout instant. Le mal-être intérieur augmente. Les conduites addictives aussi. Et l’on se met en général à multiplier les mauvaises décisions.

Apprendre à réguler ses émotions

Si vous vous reconnaissez dans l’un ou l’autre cas, c’est déjà une première étape essentielle. Car cela vous permet déjà d’affiner votre compréhension de ce qui se joue en vous – et donc de changer votre regard sur vous-même. 

Mais ce qui change vraiment la vie, c’est d’apprendre à réguler ses émotions. Autrement dit : d'automatiser de mieux en mieux les 4 compétences d’une bonne régulation émotionnelle :

1. écouter & savoir reconnaître/nommer l'émotion (ou le "noyau agglutiné" d'émotions) ;

2. l'accueillir/accepter & comprendre ce qu’elle attend de vous ;

3. réguler & soulager (par divers moyens : écriture automatique, activité physique, EFT, cohérence cardiaque, méditation…) ;

4. l’utiliser pour prendre les bonnes décisions. 

À quel moment se faire accompagner ?

Quand le débordement émotionnel devient vraiment trop inconfortable (intérieurement ou vis-à-vis des autres), vient un moment où cela devient beaucoup plus facile, beaucoup plus efficace et bien plus soutenant de se faire accompagner.

Le bénéfice en est, en général, un soulagement immédiat, grâce à la puissance des techniques de régulation émotionnelle utilisées, telles l'hypnose, l'EFT ou l'EMDR/RITMO. 

Puis, séance après séance, c’est tout le climat intérieur qui graduellement se modifie, et toute la dynamique de vie qui peu à peu se remet sur de bons rails. On y gagne progressivement un vrai mieux-être, une vraie autonomie dans sa gestion émotionnelle – et, donc, plus de stabilité et d’épanouissement.

Et vous découvrirez même que l’on peut faire de son « hypersensibilité » un véritable atout ! Car l’hypersensibilité n’est pas un trouble – au contraire ! C’est un talent inné qu’on peut apprendre à utiliser au service de son plein déploiement personnel, professionnel ou artistique.

En route vers un vrai mieux-être !

Alors si vous sentez qu’à l’intérieur, ça dit : « J’en ai assez de ces émotions qui me débordent et qui me gâchent la vie » et « je sens que j’aurais bien besoin d’un petit coup de pouce » – eh bien je vous accueille avec grand plaisir, mais surtout avec une vraie expertise – afin de vous aider à (re-)trouver le mieux-être et l’épanouissement auxquels vous aspirez profondément. 

À bientôt !

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